Photo : façade ouest de la chapelle Sainte-Nonne à Dirinon, vers 1600
| Autres dénominations | Fiachra (en gaëlique) |
| Lieu et époque | Né en Irlande, il s’établit à Meaux (Brie), VIe – VIIe siècles |
| Inscription | martyrologe romain |
| Attributs | pelle, bêche |
| Fête | 4 décembre |
| Vie et légendes, hagiographie |
| Né en Irlande vers 590, saint Fiacre est d’abord éduqué au monastère de Kilcoony. Il y acquit une grande renommée en dispensant des soins par les herbes. Ordonné prêtre, il vécut plusieurs années dans un ermitage irlandais. Avec quelques disciples, il débarqua en Normandie, et se rendit à Meaux auprès de l’évêque saint Faron. Celui-ci l’invita à fonder un monastère dans les environs. Il transforma les lieux rapidement avec les disciples qui affluèrent aussitôt auprès de lui. Il y cultivait des plantes médicinales avec lesquelles il soignait les pèlerins et les malades. Saint Fiacre menait une existence de prière et de charité sous la protection de Notre Dame à laquelle il dédia son monastère qui devint un lieu de pèlerinage réputé. Après sa mort, vers 670, le monastère prit son nom. (Réf. : Wikipedia, Nominis, Bernard Rio) |
| Vénération |
| Il est le saint patron des maraîchers, des jardiniers, des cochers et chauffeurs de taxi. Il est invoqué pour obtenir la guérison des furoncles, abcès, coqueluches, coliques, hémorroïdes, chancres et cancers. |
| Lieux où il est honoré dans la vallée de l’Elorn |
| Dirinon > église Sainte-Nonne – lambris peints de la voûte : peinture, 1715, par Pierre Bechennec et François de Launay > chapelle saint Nonne – pignon ouest : statue en pierre, vers 1600 Trémaouézan > église Notre-Dame – porche sud, contrefort : statue, kersanton, 1610 |