Photo : Dirinon, retable de la Trinité, début XVIIIe
Autres dénominations | Kaouritin, Kaour |
Lieu et époque | Né en Cornouaille armoricaine, IVe – Ve siècles |
Inscription | martyrologe romain |
Attributs | poisson, mitre et crosse épiscopales |
Fête | 12 décembre |
Vie et légendes, hagiographie |
Né en Cornouaille armoricaine en 375, il se retire dans la forêt du Nevet et construit son ermitage à Plomodiern près d’une fontaine. D’après la légende, un poisson y vivait et, pour se nourrir, le saint en prélevait chaque jour un morceau qui repoussait miraculeusement. Le roi Gradlon le fit consacrer évêque à Tours par saint Martin et créa à son intention le siège épiscopal de Quimper. Sa présence comme premier évêque de Quimper est reconnue historiquement au concile d’Angers de 453. Il mourut le 12 décembre 460. (Réf. : Wikipedia, Bernard Rio) |
Vénération |
Il est le saint patron de Quimper dont l’ancien nom est Quimper-Corentin Il est invoqué pour obtenir la guérison des aveugles, muets, sourds, boiteux, possédés. |
Lieux où il est honoré dans la vallée de l’Elorn |
Dirinon > église Sainte-Nonne – retable de la Trinité : statue, bois polychrome et doré, début XVIIIe > église Sainte-Nonne – lambris peints : peinture sur bois, 1715, par Pierre Bechennec et François de Launay Loc-Eguiner-Ploudiry > église Saint-Eguiner – vitraux : saint Corentin, vitrail, XXe Pencran > église Notre-Dame – bas-côté sud : statue, pierre polychrome, XVe Saint-Divy > église Saint-Divy – bas-côté sud : saint Corentin, vitrail, 1931, atelier Rault |