Photo : Eglise Saint-Thomas, Landerneau, fin XVIe
| Autre dénomination | Anna |
| Lieu et époque | Nazareth ?, Jérusalem ?, 1er siècle av. JC-1er siècle ap. JC |
| Inscription | Au martyrologe romain pour le 26 juillet : Mémoire des saints Joachim et Anne, les parents de la Vierge Marie immaculée, Mère de Dieu, dont les noms ont été conservés par d’antiques traditions chrétiennes. |
| Attributs | Livre, livre ouvert, lys. Souvent accompagnée de la Vierge Marie, sa fille, et de Jésus, ou quelquefois de son époux Joachim. Sainte Anne est souvent représentée apprenant à lire à sa fille dans le livre des Ecritures. Dans d’autres cas, elle porte sur le bras Marie et l’enfant Jésus. Elle est alors qualifiée de "sainte Anne trinitaire". |
| Fête | 26 juillet |
| Vie et légendes, hagiographie |
| Mère de la Vierge Marie. Anne est liée à Joachim qui était fort riche, mais elle était stérile. Après un long temps de prière pour elle et un séjour au désert pour lui, ils se retrouvent à Jérusalem où leur vœu d’enfant est exaucé. « Anne enfanta, elle mit au monde une fille. Et elle dit : "Mon âme a été exaltée en ce jour" ». Protévangile de Jacques 5, 2. |
| Vénération |
| Patronne de la Bretagne. Après la découverte au 17e siècle d’une statue miraculeuse dans un champ par Yves Nicolazic, la dévotion à sainte Anne s’est affermie en Bretagne, en particulier dans le Morbihan. Dans le diocèse de Quimper, elle fait l’objet d’un culte très ancien à Sainte-Anne-la-Palud où une chapelle lui a été dédiée. Les marins l’ont aussi choisie comme protectrice. Elle est aussi la patronne des femmes stériles ou enceintes, des couturières, des dentelières, des ébénistes, des gantiers ainsi que des grands-parents. |
| Lieux où elle est honorée dans la vallée de l’Elorn |
| En général, dans la plupart les paroisses. |