L’intérieur de l’église de Lanneuffret a conservé, outre la chaire, un beau décor.

Le maître-autel en « tombeau galbé », tout à fait dans l’ambiance XVIIe siècle.

 

Sur la porte du tabernacle, un agneau couché sur le Livre avec sept sceaux, évoque le passage de l’Apocalypse : « Il a été jugé digne, l’Agneau immolé, d’ouvrir le Livre et d’en rompre les sceaux. »

 

 

 

 

 

 

 

La statue en pierre d’Anne et Marie, avec le Livre, est assez impressionnante :
la main d’Anne couvre la page, empêchant Marie de lire, mais lui tendant le doigt comme pour l’inviter à boire le lait de la Parole.

 

Nous avons là une belle figure de la Parole qui prend corps en Marie.

 

 

 

 

 

Le Christ en croix sur la poutre de gloire accueille le fidèle les bras grands ouverts ; son visage exprime une grande douceur et une grande sérénité.

 

 

 

 

En contrebas, un Christ aux liens, bien restauré, compte parmi les plus belles réalisations du genre. « Voyez s’il est une douleur semblable à ma douleur. »

 

Ou encore à cette Vierge à l’Enfant inspirée des modèles du XVIIIe siècle.