L’église possède quelques belles statues qui méritent qu’on s’y arrête.
 

Jean-Baptiste montre de son index droit l’agneau de Dieu qu’il porte comme un enfant contre son cœur.
On remarquera comment l’artiste a traduit le fait qu’il est vêtu d’une peau de bête par la représentation d’une tête d’animal entre ses deux jambes.
 
 
 
 

Un ensemble composé de sainte Anne, Marie et l’enfant.
Ce dernier est porté par sa grand-mère et tourné vers sa mère ; il brandit le globe terrestre au-dessus de lui.
Marie offre l’enfant au monde et celui-ci fait au monde le don de sa vie symbolisée par la croix.
 
 
 
 
 

 

Le pied de l’évangéliste repose sur le dos d’un lion souriant, à la queue facétieuse.
Ce lion permet d’identifier saint Marc.
L’écrivain biblique, méditatif, tient son rouleau déroulé sur les genoux : il fait une pause dans l’écriture, comme s’il évoquait en cet instant le souvenir d’un épisode particulièrement marquant de Celui dont il raconte la vie, la mort et la résurrection.